27 avril 2013

Que dois-je penser si la souffrance
Est pour moi comme une délivrance ?
Je ne cherche d’autres récompenses
Que ta douce présence !

Comment y survivre ?
Survivre à ce vide ?
De toi je veux être ivre !
Vers toi, je veux qu’on me guide !

C’est le chaos autour de moi
Mais je n’entends que le silence en pensant à toi
À ce moment-là, la paix m’habite
C’est ma tanière, mon refuge, mon gîte

La chaleur de ton corps
La douceur de tes lèvres
M’en priver c’est la mort
Même si cela peut paraître mièvre

Le galbe de tes seins
La tendresse de tes fesses
Je ne veux que les faire miens
C’est ta beauté qui me tient en laisse

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