27 avril 2013

Dehors, les voitures klaxonnent
C’est leur joie qu’ils claironnent
Ils assistent à une union
Mais je n’ai que faire de tous ces cons.

En hurlant leur bonheur
Ils me rappellent certaines heures
Tous ces bons moments
Chaque fois que j’ai passé du bon temps.

Ces heures dont je suis privé
Auxquelles je ne fais que penser
Fait remonter quelque chose en moi
Est-ce de la rage, de la colère ? Non, je perds la foi.

J’ai d’abord ressenti la haine
De voir autour de mon cœur toutes ces chaînes
Mais aujourd’hui j’ai changé
C’est par le désespoir que j’ai été touché.

Mes larmes sont taries
Au souvenir de ma chérie
La source est vidée
Ce n’est plus que dans le désespoir que je peux penser.

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